Communiqué de Presse (19/01/2018)

Madame, Monsieur, 

Après analyse de la décision rendue par le Conseil de Prud’hommes d’ORLEANS, et plus spécifiquement de sa motivation, la SEMSL ORLEANS LOIRET BASKET a décidé de faire appel du jugement afin de continuer à défendre les intérêts, et les valeurs humaines, du club.

Il a été demandé en conséquence à l’avocat du club de mettre en place, et de suivre, les procéduresrequises, et de prendre contact à cette fin avec l’avocat de la partie adverse.
Cette décision s’appuie sur plusieurs arguments faisant partie intégrante du jugement prud’homal, validant la légitimité de la rupture anticipée du contrat de travail de l’entraineur, mais considérant que les faits avérés ne seraient pas suffisants pour caractériser une faute grave, seule susceptible d’être retenue dans le cadre d’un contrat à durée déterminée.

ORLEANS LOIRET BASKET souhaite convaincre la Cour d’Appel que rentrent bien dans cette notion les deux fautes retenues par les premiers juges en ces termes :
« les attestations concordantes établissent la volonté de Monsieur VINCENT de déstabiliser toutes les personnes du staff technique avec lesquelles il lui était demandé de travailler. »

Et, à propos de l’utilisation par Pierre VINCENT du véhicule de service financé par l’OLB pour des transports « Blablacar » onéreux, à son seul profit : « le Conseil le juge fautif étant donné la position hiérarchique et l’exemplarité demandée à un entraineur de ce niveau. »

D’autres griefs, non retenus par le Conseil de prud’hommes, seront également soutenus à nouveau, comme, par exemple, une attitude injurieuse envers les dirigeants du club.

Orléans Loiret Basket 

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